Oui, j’hiberne.

Ça, c’est moi qui suis en train de réfléchir à mon prochain sujet.

Oui, j’hiberne.

Entre les terribles nouvelles de cette fin d’année, le froid qui s’installe (pas trop par chez moi, mais quand même), une formation professionnelle a suivre (très intense) tout en continuant une petite activité d’auto-entrepreneur, la perte de mon Pikmax dont je voulais faire une review et ma tendance naturelle à procrastiner plus que de raison, ça fait bien longtemps que vous n’avez pas eu de news.

Alors…
Souvent, j’ai pensé à vous.
Souvent, je me suis dit qu’il fallait que je vous donne quelques nouvelles.
Souvent, j’ai mis en favori quelque gadget magnifique ou foireux (le deux ont leur intérêt) ou un bel article sur un nouveau câblage/réglage/tuto (ne rayez aucune mention, elles sont toutes utiles).

Mais jamais, je ne vous les fis partager.

J’ai même interrompu ma dernière vidéo en plein milieu, vous laissant dans un désarroi qu’on estimera légitime et injuste à la fois.

Pour tout cela, je vous prie de m’excuser. Je vous dirais bien que je ne le referai plus, mais ce serait faire une promesse bien intenable…

Allez, haut les cœurs, c’est Noël. A tous mes proches qui ont perdu des proches, je vous embrasse.

A tous ceux qui suivent ce blog et ses vidéos, merci, merci, merci. J’apprécie chaque commentaire à sa grande valeur.

A ceux qui se demandent si je vais finir le boulot, la réponse est oui, c’est par ici.

A tous ceux qui aiment la musique en général et le rock en particulier, deux vidéos qui m’ont marqué ces dernières semaines, alors je vous les file.

L’hypnotique Witch Doctor, de De Staat, qui ne quittait pas ma tête juste avant qu’une bande d’abrutis ne décide de tuer des gens.

et la musique qui ne quitte pas ma tête depuis, parce que mon cerveau fait de la résistance.

Je sais pas vous, mais moi, une vidéo avec Josh Homme, Dave Grohl et Jack Black avec des perruques, ça me fait la journée, sans compter que la musique est chouette.

Oui, j’emploie des formules surannées, c’est ma défense.
Joyeuses fêtes à tous.

Simple, et génial.

Parfois, une idée simple émerge, et on se dit : pourquoi ne pas y avoir pensé avant?

Voilà une toute petite invention vraiment sympa pour ceux qui aiment l’accordage en Drop D. pour ceux qui ne savent pas ce que c’est, vous pouvez allez voir par ici.

Avant, pour passer d’un accordage standard au drop D, il n’y avait que 2 solutions :

  • le faire à la main entre chaque morceau.
  • utiliser le D-Tuna inventé et popularisé par Eddie Van Halen, ce qui nécessite un vibrato à blocage de type Floyd-Rose (non flottant de préférence, car sinon tout se désaccorde au passage du Mi au Ré de la corde de mi grave).

Avouez que c’est ballot.

Ben, il y a des gars qui réfléchissent, et qui ont inventé une solution qui fonctionne quelle que soit la guitare (à part pour les vibratos flottants ou le ré-accordage s’impose, donc c’est lourd).

Je vous présente donc le Pitch-Key, qui a l’avantage de s’installer en un éclair, de ne rien changer à votre gratte et de faire le job. Elle est pas belle, la vie?

Le Pitch-Key, ou le gros son à portée d’acoustique.

En gros, c’est un petit gadget qui s’installe directement sur la corde de Mi (et pourquoi pas sur d’autres, ils proposent plein de possibilités sur leur site…) et qui va tendre ladite corde en tournant une molette avec butée, préréglée de façon à passer du Ré au Mi, donc.

Simple, et génial, mais vous bouillez d’impatience, alors voilà la vidéo de présentation.

Ça vaut 33$, hélas pas encore distribué en France. Il suffit d’avoir un pote aux US ou en Angleterre, où la facture est alors de 20£.

Je dis : bravo.

Un cadeau idéal pour mon non-anniversaire.

Vous connaissez évidemment le Polytune.

Non ?

polytune-2-smallBon, en gros c’est un accordeur au format pédale des plus pratiques et révolutionnaires, car il vous permet de voir la jus
sse de toutes vos cordes en même temps, vous faisant gagner un temps précieux.

En gros : vous strummez toutes les cordes, elles s’affichent toutes à l’écran constitué de leds et vous voyez en un coup d’œil lesquelles sont désaccordées, ainsi que leur hauteur par rapport à l’accord.

La force du truc, c’est que dès que vous en modifiez une, l’appareil switche immédiatement sur une vue plus classique ne concernant que la corde en question.

C’est bien, c’est beau, c’est boche.

Ah. On me fait signe à l’oreillette que c’est danois, en fait.

Bon, bref, si vous ne deviez garder qu’un accordeur sur votre pedalboard, ce serait probablement celui-ci.

A propos de pedalboard, nos amis danois se sont dit que certains apprécieraient que l’accordeur ne prenne pas trop de place parce que, bon, c’est quand même pas le truc le plus important…

Qu’à cela ne tienne, ils en ont sorti une version plus petite, toute mignonne, j’ai nommé : le Polytune mini. Ils ont d’ailleurs toute une série de pédales à ce format, et franchement elles sont toutes trop choupinettes.

Franchement, il est pas chou, le mini?

Franchement, il est pas chou, le mini?

« C’est bien joli tout ça, mais ça prend encore de la place sur le pedalboard », allez-vous me rétorquer à raison.

Mais bon, on arrête pas un danois en si bon chemin.

« Si on en faisait un clip? » Se sont-ils dit… Et là, ils ont bossé grave.

Une petite idée de la taille des composants...

Une petite idée de la taille des composants…

Je vous laisse le soin de découvrir la vidéo qui en parle, mais en gros, pour caser un truc aussi fou dans un espace aussi réduit (10 fois plus serré que sur l’original), il a fallu faire beaucoup bosser les ingés, et empiler plusieurs couches de circuits imprimés.

Ça fonctionne exactement comme l’original, avec quelques petites ruses en plus (genre le retournement automatique de l’affichage pour permettre de le placer dans le sens qui convient le mieux).

Au finish, on a probablement l’accordeur de tête le plus sexy jamais créé. Peut-être pas le plus discret, mais bon, on a rien sans rien.

je préfère derrière la tête, moi...

je préfère derrière la tête, moi…

TC PolyTune Clip angles-630-80

le truc sous tous les angles…

Ah oui, ça va coûter dans les 49€. Je n’ai pas trouve comment il s’alimente, et je ne suis pas sûr que les finitions vintages (donc avec un vernis cellulosique) apprécient beaucoup le caoutchouc du clip (dans le doute, ne ruinez pas une gratte à 15000€).

Ah, tiens, comme d’hab, j’ai été trop fainéant, Audiofanzine vient de dégainer un article- et un test – sur le bestiau avant moi, je vous propose donc d’aller le lire par là.

Allez, a plus !

 

 

L’intonation, c’est important aussi.

Oui, l’intonation, c’est important. Tout comme la ponctuation, qui guide l’intonation. Un exemple?

« C’est l’heure de manger les enfants »

 
Cette phrase, sans ponctuation particulière, peut être dite d’un ton assez neutre et sur un rythme est assez mou, et son contenu n’en semble que plus singulier.

Alors que :

« C’est l’heure de manger, les enfants »

 
est dite sur un rythme, et avec une intonation bien différente, tout ça grâce à une petite virgule.

On comprend qu’il manquait peut-être un truc à la 1ère phrase, à moins d’être un poil psychopathe ou d’avoir pris un peu trop au sérieux les contes de Perrault (par souci d’honnêteté, je tiens à signaler que j’ai odieusement pompé cet exemple et ses illustrations par ici).

Bon, revenons à nos moutons. L’intonation, donc, est importante dans la langue parlée.

Il se trouve qu’elle l’est aussi dans le monde de la guitare.

C’est en effet ce qui va permettre à votre instrument d’être le plus juste possible sur toute l’étendue du manche.

Sur certaines guitares, cette intonation ne peut être réglée car le chevalet est fixe comme sur les guitares acoustiques en règle générale.

Sur d’autres, on peut jouer sur la longueur de la corde vibrante en ajustant les pontets du chevalets, c’est ce que nous explique la vidéo du jour, que vous pourrez trouver par ici pour les mobilophiles, ou ci-dessous pour les ordinateurophiles. Non, ça n’existe pas.

Vous y trouverez aussi quelques explications sur la manière de s’accorder avec… un accordeur, bravo.

Je vous souhaite un week-end bien sympa, et je retourne profiter de la piscine intérieure que je viens de me faire construire avec les royalties de ce blog, qui a un succès fou.

A l’action !

Voui, c’est un jeu de mot pourri.

L’action, c’est la hauteur des cordes. Par rapport à quoi? Ben par rapport au manche, ou encore plus précisément par rapport au sommet des frettes.

Tout est dit dans la vidéo que je vous livre ici.

 

C’est parfois un peu confus, mais c’est de l’impro !

Je vous récapitulerai tout ça dans un prochain article, avec tous les chiffres, tous les trucs et le reste, dès qu’on en aura fini.

La semaine prochaine, on rendra la guitare plus juste, car j’aime la justice.

Oui, la justesse aussi.

Le manche, à ne pas régler comme un manch.. ah non.

Mais au moins c'est ma maison, ma maison...

Mais au moins c’est ma maison, ma maison…

Et hop !

Après cette faille spatio-temporelle qui m’a happé pendant presque un mois, je suis de retour.

Dans un nouveau bureau, plus spacieux, plus fastueux, plus scandaleusement confortable.

C’est encore un peu le souk (mes valets n’ayant pas encore rangé l’ensemble de mes effets), mais je me suis dit qu’il était peut-être temps de vous offrir gracieusement un bout de mon savoir encyclopédique.

Dont acte, voici le troisième volet des réglages à apporter à sa guitare : le manche.

J’entends d’ici vos sourires sarcastiques. Vos sous-entendus graveleux. Vos pensées malsaines.

Fi de tout cela ! Nous allons régler la courbure dudit manch… bon, ÇA SUFFIT MAINTENANT ! Chabrot, vous sortez de la classe.

Reprenons.

Le manche, donc, est courbé par l’action des cordes qui tendent à lui donner une forme concave. Enfin, comme un arc, quoi. Ce qui est une bonne chose, mais pas trop.

Il faut en effet que le manche ne soit pas totalement droit, car cela engendre beaucoup de frise, d’autant plus si le guitariste est un bûcheron sous Guronsan ou Angus Young.

Pour ce faire, nous utilisons la tige de réglage présente dans le manche, appelé trussrod. En resserrant l’écrou ou la vis de celui-ci, on tend le trussrod qui va pousser le manche à s’opposer à la tension des cordes. En désserrant, on va dans le sens inverse.

Compliqué? Définitivement, c’est pourquoi vous pouvez allez consulter la vidéo suivante:

[http://youtu.be/Ce5aAtyUyHI]

Oui, je sais, c’est trop beau pour être vrai. Et pourtant.

Il vous en prie.

Régler sa guitare, partie 2 (ouf)

Alléluia ! Hosanna aux plus haut des cieux ! J’ai un lecteur de cartes mémoires.

Bon, on reprend où l’on s’était arrêté.

Vous avez changé les cordes, accordé votre guitare. Maintenant est venu le moment de régler le vibrato.

une guitare… sans vibrato.

Pour les possesseurs de Les Paul, vous pouvez passer au chapitre suivant. Qui n’est pas encore disponible.

Bon, vous avez quartier libre, joyeuses fêtes.

Pour les autres, ceux qui ont une Stratocaster ou assimilée, on va régler le vibrato, de type Synchonized Tremolo®.

Un vibrato.. qui ne nous concerne pas encore.

Oui, Vampryros ?

Tu as un Floyd Rose® sur ta gratte de métalleux?

Quartier libre pour toi aussi, on verra ça après les fêtes.

Bon, on peut y aller maintenant?

LE vibrato Synchronized Tremolo

Nous, on va régler le bon vieux vibrato à 6 vis de Fender, et ses dérivés.

A noter : les versions à 2 pivots ont un réglage identique, il suffira de ne pas prendre en compte ce qui concerne les 4 vis du milieu ^^

Le vibrato légèrement flottant (ici le modèle à 2 points)

Bon, alors comme vous pouvez le constater sur la photo ci-contre, le vibrato doit être légèrement flottant, c’est-à-dire qu’il ne repose pas sur la table.

On va donc commencer par… le plaquer à la table !

Oui, car il faut régler les vis qui maintiennent le vibrato, et pour ce faire, il faut détendre les cordes et dévisser les 6 vis afin que le vibrato soit parallèle à la table quand on tire dessus (ce qui en gros revient à le faire reposer sur la table).

Vibrato plaqué sur la table

Puis on revisse les deux vis aux extrémités jusqu’à ce qu’elles effleurent la plaque du vibrato, toujours parallèle à la table.

Pour les vibratos à 2 pivots, on se contente de régler la hauteur qui permet de plaquer le vibrato contre le corps.

Ensuite, on revisse les 4 vis du milieu.

Certains recommandent jusqu’à ce qu’elles touchent la plaque du vibrato, je recommande de leur laisser un poil de marge, parce que ça favorise un peu le retour à zéro du vibrato.

On se réaccorde, puis on passe l’étape des ressorts, et là c’est long.

Si on suit les recommandations de Fender, le vibrato doit être légèrement flottant, l’arrière de la plaque devant être à 3,2 mm du corps de la guitare (1/8″).

Vous avez le droit, bien entendu, de faire autrement (un certain Eddie Van Halen ne jure que par les vibratos reposant sur la table).

une jauge d’épaisseur, un truc bien utile pour tout un tas de machins.

Vous pouvez mesurer cette hauteur avec une jauge d’épaisseur, un article très commun dans les quincailleries auto puisqu’il sert à mesurer des tas de trucs, dont le bon réglage des bougies.

On en trouve aussi dans tous les magasins généralistes de bricolage, type Leroy Machin ou Pistorama.

Rappel : la guitare doit être réaccordée après chaque changement, sinon les réglages sont faussés. Je vous recommande très vivement l’utilisation d’un accordeur électronique pour ce faire, sinon ça devient vite TRÈS fastidieux.

l’arrière de votre Strato. Ou de celle d’un autre.

Pour rapprocher le vibrato de la table, il faut tendre plus les ressorts, donc visser la plaque avec les griffes. Pour relever le vibrato, faire l’inverse.

On peut aussi rajouter ou enlever des ressorts, changer leur position pour faire tirer plus ou moins et essayer d’équilibrer le côté grave et le côté aigu, tâche parfois très complexe comme le démontre la vidéo explicative qui suit.

Vous y trouverez des petits trucs supplémentaires (utilisation d’une feuille de papier pour ne pas abîmer la table, ressort caché au fond de la tige du vibrato…) que je ne détaille pas ici.

Voilà, c’est beau, c’est clair, ça tape (modestie inside), et ça a le mérite d’être enfin là, après 2 semaines de lutte acharnée avec mon matériel informatique.

La semaine prochaine on s’attaquera à la courbure du manche.

Ce qui n’a rien de sale, bande de pervers.

Régler sa guitare, partie n°1

Et hop !

J’ai enfin vaincu la bête et réussi à exporter correctement les 3 premières vidéos de cette longue série qui nous attend dédiée aux réglages à effectuer sur sa guitare.

Je l’avais promis, je le fais.
Je devrais me présenter à une élection, moi, tiens.

votez pour moi.

On commence par… le commencement, donc. Vous reconnaîtrez aisément une guitare que je vous avais présenté il y a quelques mois.

Que les plus agiles d’entre vous ne se sentent pas insultés, je vais essayer de faire dans l’exhaustif, c’est-à-dire aussi en passant par les étapes « basiques »

Parlons tout de suite des choses qui fâchent :

pour régler sa guitare, il faut avoir des cordes NEUVES.

Oui, c’est un peu lourd, on se dit qu’on va utiliser le vieux jeu, faire tous les réglages nécessaires puis une fois la pelle réglée et bien nettoyée triompher en mettant un jeu neuf, mais c’est une erreur.

vous pouvez recycler vos cordes, le saviez-vous?

Une guitare ne peut être correctement réglée qu’avec un jeu de cordes neuves, de préférence celles que vous utilisez habituellement, car les cordes usées n’ont plus une section ronde (elles s’écrasent contre les frettes) et faussent une partie des ajustements à faire.

La majorité des réglages possibles sur une guitare ne demandent pas de « sacrifier » ce jeu neuf dans le processus, donc allez-y sans crainte pour votre porte-monnaie.

J’ai longtemps été radin avec les cordes, maintenant je les achète par 10 jeux à la fois, ça me coûte beaucoup moins cher et j’arrête de faire des économies de bout de chandelle (sur internet, il y a de très bon fournisseurs, qui font des réductions sur la quantité et des opérations prix cassés régulièrement)

Fender, je te hais. Mais j’aime ma Strato.

A ce sujet, certaines guitares seront moins pratiques que d’autres à ce niveau. Mon regard appuyé se dirige vers Fender, dont certains manches ont un réglage du trussrod au niveau du talon du manche (comme vous pouvez le voir sur l’image ci-contre), ce qui nécessite un démontage dudit manche à chaque ajustement, et donc de faire le cycle détendre-cordes/démontage-manche/réglage-trussrod/remontage-manche/accordage autant de fois que nécessaire…
On verra ça dans une prochaine vidéo, mais j’ai pas hâte pour tout vous avouer 😉

On commence donc par retirer l’ancien jeu de cordes. La manière la plus simple sur une guitare de type Stratocaster est de détendre toutes les cordes, puis de les couper avec une pince (ce que je ne fais pas dans la vidéo, et qui m’empêche donc de sortir aisément les cordes du vibrato).

Pour les remonter, il suffit d’insérer les cordes dans le bloc du vibrato par l’arrière, puis de corder comme indiqué dans un post précédent.

Enfin, il faut s’accorder, chose que l’on fera après chaque modification réalisée, selon la procédure :

– détendre les cordes
– faire le réglage concerné
– retendre les cordes
– s’accorder
– vérifier si le réglage est bon
– recommencer si ce n’est pas encore ça

C’est lourd, mais c’est la seule façon de (bien) faire.

Pour l’accordage, un petit rappel de la méthode traditionnelle, avec un accordage standard mi-la-ré-sol-si-mi (soit EADGBE en notation anglo-saxonne)

Ce qui n’est pas précisé dans la vidéo, c’est qu’il faut une référence (un la étant souvent utilisé, avec un diapason ou la tonalité du téléphone) afin de régler l’ensemble sur une base juste.

Allez, d’autres ont fait ça aussi, alors j’en choisis un au hasard pour avoir vous donner une référence.

Voilà, on se retrouve la semaine prochaine pour s’attaquer au vibrato.

Pourquoi? Parce que. Bon week-end à tous !

P.S. : au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, à chaque fois que j’utilise une image, elle est cliquable et vous renvoie au site sur lequel je l’ai trouvée si je n’en suis pas l’auteur. Souvent, cela vous amène sur des pages très intéressantes, mais je ne suis affilié à aucun constructeur ou fabricant.

Un « tiens ! » vaut mieux que rien.

Bon, ne nous voilons pas la face, j’avais prévu de vous faire une chouette vidéo sur les réglages à effectuer sur une Strato, ça ne fait juste qu’un an que j’en parle.

Mais bon, vu que je suis toujours à l’article de la mort, et que mon médecin m’a dit que je n’avais quasiment rien, je souhaite qu’on inscrive sur ma pierre tombale « JE VOUS AVAIS BIEN DIT QUE J’ÉTAIS MALADE ».

Et je vous balance un ersatz de la magnifique vidéo qui suivra, quand j’aurai la patate. Soit dans 2 semaines, il y a relâche pour les vacances des mômes, où je serai loin de tout ordinateur. En tout cas de tout accès internet décent.

Les réglages d’une gratte :

Voilà, je vous ferai la même chose aux petits oignons plus tard. Quand ma voix s’éloignera de cette de Barry White qui aurait avalé un saladier de slime.

Beurk.

Je retourne mourir.